Et s’il était possible de guérir de l’ Asthme ?

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Imaginez une vie sereine où les craintes de déclencher une crise d’ Asthme appartiennent au passé. Une vie où vous êtes libre de toute médication (corticoïde, ventoline). Une vie où vous êtes en mesure de faire du sport quand cela vous plait et de respirer à pleins poumons toute la journée.

AsthmeSeulement, pour certains d’entre nous, la réalité n’est pas toujours aussi évidente… la trousse de médicaments n’est jamais loin, le baby-haler toujours à porter de main. Sans compter les angoisses d’étouffer ou les allergies qui génèrent un stress et une gêne au quotidien.

Il y a encore peu, je faisais partie de ces personnes qui cherchent des solutions pour gérer voire enrayer cette maladie chronique qu’est l’ Asthme allergique.

Je vous propose aujourd’hui mon expérience personnelle et les enseignements que j’en ai tiré. J’espère que celle-ci puisse vous aider, vous faire gagner du temps et améliorer votre état de santé et/ou celui de vos proches.

2010 : L’ Asthme entre dans nos vies

J’ai découvert cette maladie en 2010, quand mon fils de un an a commencé à avoir des problèmes respiratoires. Pour moi c’était quelque chose de totalement nouveau, je ne connaissais pas vraiment les symptômes (et encore moins les causes) de cette maladie. Je n’avais ni amis, ni proches, ni familles souffrant d’ Asthme.

Tout ce qui a découlé du déclenchement de la maladie de mon fils allait transformer ma vie à jamais, mais je n’en étais pas encore consciente.

Pour commencer par le commencement, je vais vous situer le contexte familial dans lequel mon fils a déclenché cette maladie. Je vous parlerai de ce que j’ai découvert au fil du temps comme solution à ce problème et qui pourrait certainement vous aider.

Prédisposition génétique : ça n’est pas suffisant

Dans la famille du père de mon fils, il y a plusieurs personnes touchées par l’ Asthme…donc mon fils avait une prédisposition génétique. Seulement, la découverte de l’épigénétique démontre que certains gènes sont activés ou non en fonction du contexte extérieur.

Aussi mon fils a déclenché de l’ Asthme car un ensemble de facteurs environnementaux ont activé sa prédisposition génétique. Ce qui veut dire que si il était né dans un contexte différent, il aurait pu parfaitement ne rien déclencher du tout. Il n’y avait donc aucune fatalité !

Grossesse et accouchement difficiles : l’idéal pour favoriser un terrain asthmatique

J’ai vécu une grossesse très stressée…et ce que la mère ressent, le bébé le ressent également. Le stress se traduit dans le corps par une cascade de réactions biochimiques qui vont perturber le bon fonctionnement de l’organisme. En l’occurrence ici : son organisme et le mien.

De plus, je n’avais aucune notion concernant l’alimentation adaptée à l’être humain, aussi j’ai consommé de nombreux produits acidifiants pendant ma grossesse (comme le fromage, les glaces et le gluten). Ces produits déséquilibrent la flore intestinale de la mère et favorisent l’accumulation des toxines dans son corps… où loge évidemment son bébé.

Enfin, l’accouchement a été long et difficile, et mon fils est sorti avec des « cuillères » qui lui ont d’ailleurs allongé le crâne dans ses débuts en plus de lui laisser de vilaines marques.

En bref : son arrivée dans la vie ne s’est pas faite dans un climat sain et serein.

Le contexte familial : aïe, ça chauffe !

AsthmeAttention nous arrivons au sujet sensible :
Les relations avec le père de mon fils, mon compagnon de l’époque, étaient très conflictuelles pour ne pas dire chaotique, ce qui générait un stress familial quotidien.

Malheureusement, j’ai été impuissante à remédier à la situation. Quand certains d’entre-nous évitent les conflits ou les subissent, d’autres maîtrisent l’art de la guerre et aiment s’y livrer…

Ainsi, la grossesse, les prédispositions génétiques et le contexte familial formaient une situation, qui vous en conviendrez, était largement favorisante pour le déclenchement de cette maladie.

Pour moi, il n’y avait donc pas de mystère, mais un contexte à prendre en compte pour remédier efficacement à la situation.

Les médicaments : la solution magique

Dans les débuts, j’ai suivi, avec le papa, tout le parcours conventionnel : hôpital, allergologue et médicaments (corticoïde et ventoline).

J’ai donc donné le traitement de fond dans les débuts, puis voyant qu’il n’y avait pas de changement très significatif sur la toux de mon fils, j’ai décidé d’arrêter tout en continuant d’expérimenter des choses plus naturelles.

Rien ne fonctionnait vraiment, mon fils refaisait des crises d’ Asthme … qui coïncidaient entre autre à chaque grosse crise que je traversais avec le père. De plus, j’étais très stressée de la situation, et qui dit maman stressée dit par voie de conséquence, bébé stressé.

Les médicaments : pas une fin en soi

Même si l’allopathie a le protocole le plus efficace en cas de crise, j’étais moins convaincue par ces propositions sur le traitement de fond.

Aussi, j’ai réalisé que la solution proposée par les médecins sur le long terme n’était pas une solution tout-à-fait acceptable. Leur proposition était la suivante : anti-inflammatoires à avaler une fois par jour tous les jours, et corticoïde inhalé 2 fois par jour tous les jours jusqu’à ce que la maladie se résolve d’elle-même par hasard, ou le cas échéant poursuivre les médicaments tous les jours pendant des années ou à vie.

Cela me posait problème.

Les médecins avaient beau m’expliquer que les corticoïdes inhalés étaient absolument sans danger pour la croissance et pour le bon fonctionnement du corps de mon bébé, je n’arrivais pas à les croire sur parole.

De plus, je souhaitais que mon fils ne soit pas dépendant d’un traitement et qu’il guérisse vraiment. Poser un pansement sur les symptômes était loin de me satisfaire, surtout lorsque cette maladie était pour moi symptomatique d’une détresse chez mon enfant.

Je me disais intérieurement : « si cette maladie est le moyen que mon fils a trouvé pour exprimer sa souffrance et que les corticoïdes pris au quotidien masquent plus ou moins les symptômes sans que la cause ne soit résolue, que peut-il déclencher d’autre pour se faire entendre ?

J’avais donc une certaine appréhension pour la suite des événements.

Aussi, outre le réglage alimentaire que je ne découvrirai que plus tard, j’ai essayé de nombreuses choses (homéopathie, traitement aux plantes, ostéopathie, etc.) mais sans résultat. Il faut dire que la situation familiale persistait à être cataclysmique sans que j’ai le pouvoir de changer la situation.

Bien que je me sois séparée du père, les problèmes entre nous ont continué, et notre enfant en souffrait.

Le bras de fer avec la médecine et la grande désillusion

J’ai parlé de ce que je vivais à des médecins, assistantes sociales, etc., afin de trouver une aide car cela affectait la santé de mon fils.

J’essayais d’expliquer que l’ Asthme de mon fils était le symptôme d’une situation dangereuse pour son intégrité psychologique et physique.

Je me suis prise porte fermée sur porte fermée. A part donner des médicaments, rien n’intéressait personne.

J’ai commencé à me dire « saperlipopette, c’est comme ça qu’on soigne les gens ici ? Avec des ordonnances à n’en plus finir en faisant complètement fi du contexte ? »

Le père de mon fils était considéré comme un père bienveillant parce qu’il s’était positionné pour les médicaments…cependant, il avait des comportements, qui, à l’abri des regards, conduisaient notre fils aux urgences par excès de stress.

Pour faire une analogie, c’est comme si vous étiez élu « père » ou « mère » de l’année car vous conduisez votre enfant aux urgences se faire plâtrer à chaque fois que vous lui cassez vous-même les membres …

Je vivais dans ce film-là.

Les médecins concurrencent les perles du Bac

AsthmeVous allez peut-être rire, mais j’ai entendu des absurdités de la part des médecins plus grosses les unes que les autres. Quand je vois à quel point la blouse blanche est respectée et que les médecins jouissent d’une aura quasi religieuse, je ne peux à-présent m’empêcher de pouffer de rire. Je vous donne 3 exemples, mais il y en a eu beaucoup d’autres.

Perle n°1 :

Une pneumopédiatre m’a soutenu qu’il n’a jamais été prouvé que le stress cause l’ Asthme (ce qui est faux, il n’y a qu’à, pour faire simple, rapide et officiel, regarder les sites de l’assurance maladie comme AMELI qui le disent très bien).

Quant aux explications scientifiques, je vous en propose au moins une : « Le stress agit sur de nombreuses hormones, neurotransmetteurs et neuropeptides participant au contrôle du système nerveux autonome et de l’inflammation des voies aériennes.» [1] 

Perle n°2 :

Plusieurs « spécialistes » (chef de service de l’hôpital pour enfants, allergologue, pneumopédiatre) m’ont affirmé que l’alimentation n’avait absolument rien à voir ni avec l’ Asthme ni avec les allergies. Ce qui une fois encore est faux quand on sait que les intolérances alimentaires débouchent généralement sur une intoxination intestinale et hépatique.

Si le foie est débordé dans son travail de drainage, ce sont les autres émonctoires (comme les poumons) qui se trouvent sollicités. De même si la paroi intestinale est altérée par des aliments irritants on obtient alors ce qu’on appelle la porosité intestinale.

La muqueuse intestinale peut dès lors laisser passer les toxines et toutes sortes d’allergènes ce qui ira par voie de conséquence déborder le foie puis les poumons.

Pour la défense du corps médical tout de même :
Pour reconnaitre le lien de cause à effet expliqué plus haut, il faut reconnaitre au préalable quels sont les aliments irritants. Bon il faut dire que les médecins ne sont pas les champions de la nutrition (nous laisserons cela aux naturopathes, aux médecins chinois et autres).

Les quelques heures perdues consacrées à ce domaine dans leur cursus de 8 ans de médecine en témoignent.

Perle n°3 :

Un jour d’avril, bien que sous traitement de fond, mon fils de 5 ans à l’époque, déclenche une grosse crise. Après 3 jours d’hospitalisation qui l’ont remis sur pied, une interne de l’hôpital pour enfant, sur conseil de ses supérieurs pneumopédiatres, estime qu’il est approprié et parfaitement sans danger de lui prescrire comme protocole de sortie de crise : 10 bouffées de ventoline 4 fois par jour pendant 6 jours (soit 40 bouffées de ventoline par jour). Pour information, un protocole classique d’après crise c’est 15 bouffées max de ventoline par jour.

N’arrivant pas à la raisonner, et sachant que le père n’hésiterais pas à suivre ce protocole, j’ai appelé en panique 3 médecins que je connaissais dont mon médecin traitant pour leur demander leur avis. Ils ont tous les 3 eu les mêmes questionnements et les mêmes réponses.

Les 3 Médecins :

« Vous avez dû mal comprendre. »

Moi : « Non, j’ai bien compris c’est écrit noir sur blanc ».

Médecins :

« Comment ? Mais ils veulent le tuer ou quoi ? »

Heureusement que je suis arrivée à convaincre le personnel de l’école de mon fils de ne pas suivre l’ordonnance amenée par le père et donc de ne pas donner à chaque récrée ce nombre hallucinant de bouffée de ventoline. Il faut dire que même pour eux aussi ça paraissait beaucoup.

Cet épisode m’a privé de sommeil pendant une semaine.

Je n’étais plus à une bourde près du corps médical, mais je priais pour que mon fils ne refasse pas de crises, car passé les premiers soins pour lui sauver la vie, ce n’était plus l’ Asthme que je craignais mais l’hôpital.

D’incompréhension en incompréhension, de bourdes en bourdes et de prescription irréelle en « vérité » contre-intuitive, je me suis rapidement rendue compte que nous ne parlions pas la même langue et qu’il y avait quand même de grosses lacunes théoriques (voire de bon sens) chez les médecins « spécialistes » et leurs internes. Toutes ces histoires m’ont fait réaliser que pour eux, n’existaient que leurs certitudes et leur paradigme, et que mon fils n’était qu’un numéro de dossier, alors que pour moi c’était l’être le plus important que la Terre porte actuellement.

La cerise sur le gâteau : l’entrée très remarquée de la justice

Comme j’ai un parcours universitaire en communication et journalisme, et qu’à ce moment-là j’étais encore à la fac, je me suis mise rapidement à faire des recherches sur comment soigner l’ Asthme naturellement et les causes profondes de celui-ci.

Or pendant ce temps, mon ex avait entamé une procédure en justice pour me retirer la garde, à cause, officiellement, de mes positions sur le traitement de mon fils. Entre nous, je ne voyais pas là sa cohérence, au vu de son comportement envers moi en présence de notre enfant.

Puis il m’a expliqué et tout devint lumineux : « C’est juste un coup de forcing pour que nous redevenions un couple » m’a-t-il dit.

Ah ! et bien en voilà une de stratégie !

Comme j’ai trouvé son approche bien trop délicate et bienveillante, j’ai dû refuser la proposition…

AsthmeLa justice française étant ce qu’elle est, mon ex a gagné (cela a mis 2 ans avec les appels durant lesquels il a eu la garde principale).

J’ai vécu, au long de cet épisode avec la justice, un véritable film de science-fiction. Quand Lise Bourbeau nous parle des 5 blessures de l’âme, moi j’ai expérimenté sans aucun doute celle de l’injustice … j’y reviendrai peut-être dans de prochaines publications.

Ainsi donc, dans son plus grand discernement, la justice  a estimé grâce au concours de leur « expert psy » (encore un « expert », j’aurais dû me méfier) :

– que je souffrais, d’une part, d’un délire de persécution (j’ai cru m’évanouir en lisant le rapport)
– et d’autre part que j’étais dangereuse pour la santé de mon fils avec mes « médecines douces » et mes « théories de la paix » (je demandais une médiation familiale obligatoire pour rétablir la paix dans la famille afin que mon fils puisse s’épanouir dans l’harmonie et le respect).

L’expert psy chargé de notre dossier a tout de même souligné dans son rapport que finalement ça n’était pas que je n’avais pas assez de connaissances sur la médecine, mais qu’au contraire, il y avait trop de connaissances … Allez comprendre ….

Aujourd’hui : En fait, je n’avais pas si tort que ça

Depuis qu’il a officiellement gagné, mon ex est redevenu cordial avec moi… de ce fait mon fils n’a plu fait de crises d’ Asthme (bien qu’il ai toujours ses allergies), et son père ne lui donne plus de traitement de fond.

En bref : La seule chose qui a changé c’est le contexte familial qui s’est apaisé. De ce fait, pour l’instant, l’ Asthme s’en est allé. Je remarque que mon fils garde tout de même une faiblesse pulmonaire (de temps en temps il tousse mais cela n’a aucune commune mesure avec la toux qu’il avait avant).

Je sais cependant qu’il ne sera totalement guéri que quand les autres facteurs favorisant l’ Asthme se régleront aussi (alimentation, problème d’affirmation de soi, digestion des traumatismes, etc.).

Au vu de la vie que j’avais avant et pendant la grossesse et au vu de ce qu’il mange actuellement, je sais que mon fils ne pourra se passer d’une bonne détox quand il en fera le choix …

En effet, pour ma part, être enceinte a été une surprise, et malheureusement j’avais 24 ans et une belle vie de patachon à mon actif sans compter le nombre de problématiques intérieures non encore réglées (il m’en reste d’ailleurs, comme tout un chacun, mais j’y travaille 😉 ).

Aussi, ce que j’ai généré comme toxines dans son organisme avec, d’une part mes émotions en montagnes russes (stress, colère et tristesse), et d’autre part ce que je mangeais (j’ai pris 23 kg pendant la grossesse, dont la faute principale est attribuée au sucre et au fromage), a certainement contribué à surcharger ses émonctoires et à le fragiliser.

Quant à aujourd’hui, il est en garde principale chez son père, donc il mange de façon « conventionnelle », avec son verre de lait le matin, et son verre de lait le soir…

Focus sur les aliments aggravant l’asthme

Plus haut, j’insistai sur l’alimentation des personnes allergiques et asthmatiques car en fait j’ai compris il y a de cela 2 an que c’était primordial. En effet, dans les recherches que j’ai menées, j’ai découvert qu’en naturopathie et en médecine chinoise, il se sait depuis fort longtemps que les asthmatiques ont une fragilité pulmonaire (évidemment), mais également hépatique et intestinale.

Aussi, il y a des aliments qui sont particulièrement fragilisant pour les personnes qui ont un terrain sujet à cela. Les 2 principaux aliments incriminés sont les produits laitiers qui provoquent énormément de mucosités, et le gluten qui, sournoisement mais surement, détruit les parois intestinales jusqu’à les rendre poreuses.

Depuis, je me suis intéressée de très près au monde des thérapies alternatives et j’ai rencontré énormément de thérapeutes qui avaient permis à leur client, et parfois même à eux-mêmes, de s’auto-guérir de l’ Asthme. Parce qu’en fait, ça aussi je l’ai compris, ni le médecin, ni le thérapeute ne guérissent qui que ce soit. Ils favorisent juste les propres processus d’auto-guérison de la personne.

Le livre à lire pour soigner son Asthme

En terme d’outil magique, je vous mets le lien d’un très bon livre, écrit par un naturopathe, qui vous explique en détails les causes et les solutions naturelles à l’asthme : L’ Asthme, solutions naturelles de Alain Tardif (un vrai trésor de bien-être 😉 ).

Ce livre est simple, court et clair et vous donne déjà quelques pistes pour comprendre l’ Asthme et l’asthmatique, ainsi que de nombreux outils que la nature nous offre pour nous en libérer.

Vous pouvez essayer seul, et notamment en suivant le guide « L’ Asthme, les solutions naturelles ». Mais, vous pouvez aussi vous tourner, pour une approche plus suivie et individualisée (surtout pour les enfants !) vers le ou les thérapeutes appropriés.

Aller à la cause des causes

Aujourd’hui, je sais que l’ Asthme est une maladie polyfactorielle et qu’à mon sens elle devrait être traitée de façon globale en prenant en compte les réponses connues aux différents facteurs en cause dans le déclenchement de cette maladie.

Les facteurs causaux sont :

– les problèmes d’ordre physiologique

– Le contexte familial et relationnel

– Les facteurs psycho-émotionnels

– Les facteurs environnementaux

– Les facteurs trans-générationnels

Quel(s) thérapeute(s) consulter

– Pour le côté physiologique, vers des naturopathes ou des praticiens en médecine chinoise ou en Ayurveda (la médecine traditionnelle indienne).

– Pour le côté psycho-émotionnel, vers des arts-thérapeutes, des sophrologues, des psy, des professionnels en communication non violente ou bienveillante (pour rétablir la communication de soi à soi, et de soi avec les autres), etc.

– Pour le côté trans-générationnel, vers des psycho-généalogistes, des personnes qui pratiquent des constellations familiales, etc.

– Pour les facteurs environnementaux aggravants, déménager et/ou engagez-vous dans une association qui vise à protéger l’environnement 😉

Enfin, vous pouvez aussi faire le choix de connecter votre corps, votre cœur et votre esprit en pratiquant régulièrement du yoga, du Qi gong ou du Tai Chi.

Chaque personne qui souffre d’ Asthme a une histoire qui lui est rattachée. De par mon expérience et point de vue, je trouve qu’il est intéressant de s’intéresser à tous les facteurs que j’ai cité plus haut afin de se prendre en charge de façon globale et pourquoi pas, de guérir de son Asthme.

Ps : Si vous choisissez de prendre en main votre santé et de vous tourner vers les médecines naturelles et alternatives, n’oubliez pas : votre traitement de fond peut vous être salutaire et même vital le temps que vous trouviez et expérimentiez la ou les solutions alternatives proposées et qu’elles aient produit leurs effets.

Mon erreur a été de vouloir supprimer un traitement de fond à mon fils au beau milieu d’un contexte violent. Le résultat était donc : pas de résultat.

Pour conclure : les maladies nous enseignent

La maladie de mon fils a déclenché un véritable raz-de-marée dans nos vies. Elle a été vectrice de beaucoup d’expériences, de changements, de nouvelles connaissances et de remises en question. Les solutions ne sont pas toujours où nous les attendons, mais cela permet de mobiliser nos ressources et de grandir.

L’heureuse conclusion inattendue en tout cas, c’est que mon fils, qui a aujourd’hui 6 ans et demi, va bien. C’est le petit garçon le plus merveilleux que je connaisse : il est équilibré, en bonne santé, drôle, intelligent, sportif, bienveillant …et empreint de sagesse.

Toutes les peurs que j’ai pu avoir tout au long de cette épreuve d’avec la justice ne se sont pas matérialisées (comme la peur de ne plus voir mon fils ou presque, que la guerre avec son père continue, qu’il soit sous la dépendance des médicaments, que son équilibre psycho-émotionnel soit perturbé, etc.).

Du jour où le père a officiellement gagné, il a lâché et la paix est revenue. De plus, il ne suit plus ce que prescrit le jugement et je vois maintenant mon fils très régulièrement.

Enfin, et comme vous l’avez surement compris, cette histoire a été pour moi un formidable apprentissage à la fois sur la vie, sur la médecine, et sur moi-même. Cependant, cette longue lutte et toutes les expériences que j’ai traversées avec la justice a généré en moi beaucoup de tristesse, de colère, de frustration, d’amertume et d’incompréhension. J’ai d’ailleurs développé dans ce même-temps une extrême fatigue chronique et une dépression.

Je vous partagerai dans de prochains articles et vidéos les clés qui m’ aident à me sortir d’une fatigue chronique, d’une dépression, etc. Mais je vous partagerai aussi quelque chose qui me semble fondamental pour avancer dans la vie ou même pour guérir : savoir lâcher-prise et pardonner.

Si vous connaissez des personnes dans votre entourage que cet article peut aider ou qui sont touchées par l’une de ces problématiques, merci de le partager.

Merveilleuse santé à tous,

Audrey

CVaudrey

[1] Cliquez ici pour accéder à l’article scientifique

 

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